Les accents francophones
Quels accents peut-on entendre dans le monde francophone ? Retrouvez d’où viennent des personnes qui parlent français à leur accent !
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Dû à ma déception amoureuse. J'ai voulu partir. Je voulais aider le peuple syrien. Je voulais être infirmière. C'est ce qu'on m'avait dit au fait. En clair, et je pensais que là bas, c'était vraiment pour les aider et que des djihadistes étaient des héros. Donc je me suis dit mais après ma rupture aussi, je reprends ma vie à zéro, là-bas. Je pensais que c'était complètement différent. C'est-à-dire, on m'avait dit que j'étais dans une ville sécurisée et que je savais bien qu'il y avait la guerre bien sûr, mais que c'était un petit peu plus loin. On voyait qu'il n'y avait pas tous ces bombardements sur moi.
On a une communauté qui soutient beaucoup ces jeunes artistes, alors je pense qu'on grandit avec ça. On grandit avec cette fierté parce que je me souviens quand j'étais vraiment petite, des fois il y a des choses qu'on comprend pas comme enfant, comme pourquoi est-ce que je ne peux pas aller à la grande école de mon quartier avec tous mes petits amis là? Pourquoi est ce qu'il faut que je fasse 1 h d'autobus ? Comme enfant, des fois, c'est frustrant ces choses-là.
C'est notre directeur qui avait un ami d'enfance en France, qui faisait un peu de l'apiculture et à son retour maintenant, il a fait appel à ces amis là. Nous n'étions pas des apiculteurs, mais nous avons fait appel à des vétérans dans les apiculteurs de la localité et nous avons dans un premier temps créé un petit champ d'arachide, histoire de mobiliser les fonds pour la procédure de reconnaissance que nous avons obtenu en 2000.
Wend-Puiré compte aujourd'hui plus de 2000 apiculteurs répartis dans tout le pays et emploie au sein de ces différentes structures 50 salariés. Dans le même temps, il a fallu améliorer les techniques de production.
Oui, tout à fait, tout à fait. Ça parle de l'éducation surtout. Des jeunes qui sont dans la paysannerie, voilà qui sont dans la nature et qui vivent dans la langue, dans leur culture, à côté de leur nourriture, de leur production locale. Et ça, c'est vraiment important. C'est la belle vie, Eric.
J'essaye de garder la même vision de la France que je rêvais. Donc, malgré que c'était un pays différent parce que la réalité, ça ressemble jamais au, mais j'ai cherché un endroit où je peux m'exprimer, où il y a besoin de moi. Moi j'ai envie d'être utile, j'ai envie de transmettre et j'ai envie d'aimer les gens que je suis avec eux. Et ils me font confiance, même s'ils m'aiment pas. C'est la confiance, c'est le plus important.
Et vous avez connu l'époque Chaplin?
Oui, il était en haut dans son manoir. Quelquefois, on l'a vu passer au village, dans la rue centrale. Moi, j'étais à l'école dans le même collège que Géraldine. Aujourd'hui, c'est ma voisine. C'est ce qui reste, moi, de la famille Chaplin, c'est d'avoir côtoyé Michelle et Géraldine. Je crois qu'on a, qu'il a apprécié notre village parce qu'on était très discrets vis-à-vis de lui et de sa famille.
Quand tu retournes chez toi, tu regardes dans quoi investir. Si c'est le transport, t'as acheté une voiture, faire le taxi, ou soit si c'est le commerce, tu vas faire, prendre des marchandises, aller les revendre ou soit à faire un magasin, t'asseoir et gérer, ou soit. Mais la plupart des majeures parties ici, on vient juste pour chercher le transport pour aller sur l'eau.
Il y a une première découverte de ces masques vers la fin du XIXᵉ siècle par les ethnologues et par les grands musées. Nous sommes ici en présence de cinq masques, des masques qui ont été collectionnés ici, au Lötschental, au début du XXᵉ siècle, mais déjà de petits chefs- d'œuvres comme celui- ci est très très beau.
Au départ, les gens venaient pour l'agriculture, donc ils s'établissaient en milieu rural. Mais avec la perte des emplois agricoles, avec la mécanisation agricole qui est survenue après la deuxième guerre mondiale, eh bien, tôt ou tard, les gens quittent la ferme et se dirigent vers les grandes villes.
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